Voici un joli témoignage d’un lecteur qui a bien voulu partager son apprentissage
« sur la femme fontaine ».
Dans son cas, c’est une curiosité naturelle pour la sexualité, qui l’avait fait ce questionner et chercher des réponses. (Je ne l’ai pas associé à du pissing comme certains érudits qui ne connaissent rien à l’anatomie féminine.)
J’avoue que dans ce genre d’histoires ce n’est pas l’arrivée mais le chemin parcouru qui est stimulant.
Devenir fontaine n’est ni une obligation ni une fin car malheureusement contrairement à ce que pensait cet homme. Les glandes de skene ne sont pas montées en série chez toutes les femmes !
C’est un plaisir primaire auquel certaines femmes arrivent à se reconnecter et c’est un bonheur de pouvoir constater leur profond apaisement intérieur.
Car il existerait une source de plaisir caché au fond de notre corps,
une manière différente de jouir et on ne nous l’aurait pas dit ? … c’est vrai qu’on ne nous dit pas tout !
Alors, si çà existe je veux le savoir, je veux le découvrir, m’en servir, tester, l’exploiter et si çà me plait … en user et en abuser !
Il a été éclaboussé par la représentation de la fontaine dans le monde très gracieux du X.
Il a écouté avec soin, les conseils de l’ancienne hardeuse OVIDIE, huées l’or d’interviews par les autres invités car une femme ne pouvait pas éjaculer …
NON ! Madame, c’est l’homme, le seul vrai mec qui peut éjaculer … la femme … pfff
n’importe quoi, et pourquoi pas revendiquer des orgasmes aussi … 🙂
Ensuite, il a lu « Osez le point G – d’Ovidie » (je ne connais pas, aperçu chez les revendeurs de toys mais le contenu m’échappe)
- et il faut dire que çà commençait à devenir un peu plus concret cette affaire dans ma tête
Ce qui l’intriguait le plus :
Si on associait la stimulation du point G à la volonté de gicler, la femme pouvait découvrir des plaisirs insoupçonnés
Bon sang, …, j’étais passé devant un truc là !
Ce fameux point G dont tout le monde parle, il était où ?
Devant ?, derrière ?, au fond ?, à gauche ? À droite ?
J’avais loupé cette grosse fraise (c’est assez gourmand comme appellation même si pour une fois vous ne pourrez pas la sucer:))
à l’entrée de la grotte, moi le pilonneur, le gros mâle pénétrateur imbu de mon marteau piqueur, je passais devant lui, je ne voyais pas qu’il était pourtant là, le bougre. Gardien de la mangue, discrètement caché derrière la clito-cacahuète il me laissait passer sans broncher. Mais c’est que c’est vicieux un point G !
Mais attends mon p’tit père, tu ne vas pas t’en tirer comme çà !
- J’en ai parlé à mon épouse, et à la banalisation et à l’indifférence première est venu s’immiscer de la curiosité
- et une certaine volonté de prendre une revanche
Un film pédagogique plus tard …….
Elle m’appela toute retournée et planante !
Nous avions bien tenté de faire jaillir cette fontaine ensemble, mais je ne devais pas bien m’y prendre puisque çà n’était pas venu. Il valait mieux qu’elle la découvre toute seule.
Bon maintenant, je dirais qu’elle s’en sert quand elle veut … pour ma plus grande satisfaction quand elle veut bien partager la chose.
Ah, ce fameux lâcher-prise, plus facile d’en parler que de le faire !
La première fois ensemble fût une source de jouissance extrême pour tous les deux… peut-être plus pour moi d’ailleurs.
Une barrière tombait …
Nos sexualités sont différentes par nature … je veux dire homme/femme. Je suis fermement convaincu que nous sommes différents, mais que sexuellement nous sommes, nous devons être égaux. Si nous sommes égaux, alors … tout ce que je peux faire … elle peut le faire aussi non ?
Et pourquoi elle ne me gratifierait pas d’un éjaculat à la fin ? ….. Ca existe … ? En plus çà excite ? …
Vas-y donne moi tout chérie ! Lâche-toi ! Moi je donne tout, alors … vas-y fait pareil !
- Une récompense dans l’apprentissage comme je les aime.
Ça été merveilleux, épanouissant, exaltant, troublant, et tellement tendre entre nous !
Ce couple n’est pas une exception mais la complicité de leur union a créé un nid parfait pour recevoir le jaillissement : de l’amour, de la curiosité, beaucoup d’attention pour sa femme, l’envie de faire différemment, peu de tabou en tout cas du côté de l’homme, un lâcher-prise, des encouragements au moment voulu.
Merci d’avoir déposé cette part d’intimité !
Annah
Bonjour annah,
la première fois que j’ai decouvert ce plaisir, j’éavais 25 ans et célibataire.
Je me masturbais regulierement, et je le faisait, une main sur le clitoris et généralement un ou deux doigts dans le vagin, j’ai besoin de cette double sensation pour obtenir du plaisir.
Et jour, je me suis aperçu que sur le haut du plancher pelvien, mais doigts touchaient une zone trés trés sensible. A force de la titiller, un jour un fort ecoulement et arrivez, au depart j’avais cru mettre lacher, mais cela n’avait pas du tout l’odeur ni la couleur de l’urine.
JE ressentais à la fois une honte, une gène, mais aussi un intanse soulagement, que cela m’arrivais, j’avais la sensation de lacher prise et de me libérer.
Après plusieurs mois, je suis tomber sur un site qui expliquer cela et surtout un livre. MAis je trouve qu’un homme qui en parle c’est un peu déplacer.
Je trouve que votre approche est plus juste, plus vecu
merci pour le message
Mélanie
merci mélanie pour ce témoignage.
Il est important de l’accepter c’est juste une de nos nombreuses facettes.
Je vous présenterai prochainement le livre d’Alain Héril le continent des femmes. Je trouve au contraire qu’il est primordial que les hommes en parlent, se renseignent, l’expérimentent avec leur partenaire ou écoutent des groupes de femmes! Il est important qu’il y est une reconnaissance des capacités de la femme par la gente masculine pour que la femme s’accepte pleinement.
Effectivement, pour ma part quand j’en parle d’un sujet et c’est valable pour touts les articles du blog, je l’ai expérimenté. A mon avis, on ne peut bien parler que de ce qu’on connaît. C’est aussi plus facile pour moi de décortiquer les phases d’apprentissage pour accompagner celles qui ne se connaissent pas encore !merci
à bientôt
Annah