Vu chez AUBADE dans la leçon n°125

Quand il s’agit de jouer à des jeux coquins, je vous conseille de dépenser de l’argent sur des produits de qualité. Vous avez maison close et LELO qui font de bons produits à mon simple avis. Il ne vous engage à rien ! Nombreux sont les sites marchands, de produits fétichistes, vous n’aurez que l’embarras du choix.
Si vous êtes débutante, vous voudrez certainement que votre amant apprenne à utiliser correctement une cravache sur vous. Alors modérez la puissance de frappe, le plaisir peut parfois nous emporter! Commencez aussi avec une cravache plus large de sorte que la piqûre soit répartie.
Pour ma part, j’aime bien ce jouet ! Variante avec le martinet de chez LELO
On peut aisément détourner le mal, le côté sado maso et le remplacer par un plaisir exquis mêlé d’une très forte excitation avec le suspens de ne jamais savoir où il va vraiment frapper!

MON CONSEIL
> J’aime quand mon partenaire me bande les yeux, car je ne veux pas anticiper les coups, ce qui m’excite davantage ! Nous entrons dans un jeu de rôle de domination soumission. Je ne saurais que trop vous conseiller d’inverser les rôles, la fois suivante !!! 🙂
> Ensuite, j’aime qu’il alterne frappe qui monte en puissance crescendo puis caresses.
> J’aime qu’il joue avec sa cravache.La douceur des caresses peut venir de la main, mais aussi de la cravache en laissant traîner le bout ou encore en alternant le chaud de la douleur et le froid d’un baiser avec la langue humide.
Vous pourrez ensuite passer à une cravache plus petite que Christian utilise sur le clitoris d’Ana dans le premier livre « 50 fifty shades of grey »
Bien que Christian soit un dominateur du genre violent avec ses autres soumises ce que j’en ressens c’est plutôt quelqu’un de prévenant à la recherche extrême du plaisir toujours dans l’attention « vous satisfaire est notre priorité Ana »!!
J’aime ce rapport puissance et protection, domination, soumission, punition.

EXTRAIT CRAVACHE
« et pointe le bout de sa cravache vers mon nombril, où il trace des cercles
Nonchalants. Au contact du cuir, je tressaille. Il me contourne de nouveau en faisant traîner sa cravache autour de ma taille. Au second tour, il
m’en donne brusquement un petit coup… en plein sur mon sexe. Je pousse un cri
d’étonnement ; tous mes nerfs se mettent au garde-à-vous. Je tire sur mes
menottes. L’onde de choc qui me parcourt est une sensation voluptueuse, à la
fois étrange et douce.
— Silence, murmure-t-il.
Cette fois, la cravache trace son cercle un peu plus haut sur mon corps.
Lorsqu’il m’en donne un petit coup sur le sexe, je m’y attends. Mon corps se
convulsé sous cette morsure délicieuse.
Il me contourne encore, mais cette fois, il frappe la pointe d’un sein, et je
renverse la tête en arrière tandis que mes nerfs vibrent. Il frappe l’autre…
punition brève et douce. Les pointes s’allongent et durcissent sous cet assaut,
et je gémis bruyamment en tirant sur mes menottes en cuir.
— C’est bon ? Souffle-t-il.
— Oui.
Il me cingle les fesses. Cette fois, ça pince.
— Oui, qui ?
— Oui, monsieur.
Il s’arrête… mais je ne le vois plus. Je ferme les yeux en tentant d’absorber
les myriades de sensations qui parcourent mon corps. Très lentement, il fait
pleuvoir des petits coups de cravache qui me pincent et me lèchent à la fois, en
descendant sur mon ventre, direction plein sud. Je sais où il va, j’essaie de
m’y préparer, mais lorsqu’il frappe mon clitoris, je pousse un cri.
— Ah… s’il te plaît.
— Silence, m’ordonne-t-il en me cravachant à nouveau les fesses.
Je ne m’attendais pas que ce soit comme ça… je suis perdue, perdue dans un
océan de sensations. Et tout d’un coup, il fait traîner sa cravache sur mon
sexe, à travers ma toison, jusqu’à l’entrée.
— Tu vois comme tu mouilles, Anastasia ? Ouvre les yeux et la bouche.
J’obéis, fascinée. Il introduit le bout de la cravache dans ma bouche, comme
dans mon rêve. Merde alors.
— Goûte-toi. Suce. Suce fort, bébé.
Je referme la bouche sur la cravache en le regardant droit dans les yeux. Je
goûte le cuir souple et la saveur saline de mon corps excité. Ses yeux
flamboient. Il est dans son élément.
Il retire le bout de la cravache de ma bouche, s’avance et m’embrasse durement,
envahissant ma bouche de sa langue, puis m’enlace et m’attire contre lui. Sa
poitrine écrase la mienne, je meurs d’envie de le toucher, mais je ne peux pas,
mes mains sont impuissantes au-dessus de ma tête.
— Anastasia, tu as un goût délicieux, souffle-t-il. Je te fais jouir ?
— S’il vous plaît.
La cravache mord mes fesses. Aïe !
— S’il vous plaît, qui ?
— S’il vous plaît, monsieur.
Il me sourit, triomphant
— Avec ça ?
Il brandit la cravache sous mes yeux.
— Oui, monsieur.
— Tu es sûre ?
Il me dévisage d’un air sévère.
— Oui, s’il vous plaît, monsieur.
— Ferme les yeux.
La chambre, Christian, la cravache, tout disparaît. Il recommence à me donner de
petits coups qui me mordent le ventre. Puis la cravache descend pour s’abattre
doucement sur mon clitoris, une fois, deux fois, trois fois, encore et encore,
jusqu’à ce qu’enfin, poussée à bout, je jouisse glorieusement, bruyamment
Pour ceux et celles qui ont déjà essayé, donnez-moi vos impressions.
Que pourrait-on dire de plus aux novices ?
Annah